Le salon de "L'aiguille en fête"
Le week-end dernier se tenait le salon de "L'aiguille en fête".
Il y avait beaucoup de monde, trop de monde. Bien difficile d'approcher des stands. Mais, que de belles choses.
Bien difficile de préserver le porte-monnaie.
Outre les stands de vente, il y avait différentes expositions. Voici quelques photos :
du travail remarquable au point de croix, comme un journal ou un livre inspiré d'une méthode de lecture :
ou encore ce kimono :
Il y avait une dame qui collectionnait des rouleaux. Des rouleaux , oui ! mais de quoi.
Alors , lorsque les petites filles entraient à l'école, il y a bien longtemps, elles apprenaient à coudre, à broder, à faire de la dentelle... Enfin, tout ce qu'il fallait pour devenir une femme accomplie. Tout ce travail était assemblé au fur et à mesure et formait de longues bandes de "tissus" pouvant aller jusqu'à plusieurs mètres. Elles les enroulaient pour les transporter ou même les ranger, d'où le terme de rouleau et lorsqu'elles devaient justifier de leur savoir elles n'avaient plus qu'à le dérouler.
Et puis, il y avait une superbe exposition de costumes d'Opéra (Marseille et Paris)
et des costumes du Centre National du Costume de Scène et de la Scénographie de Moulins
et enfin la dentelle de Nanduti (Paraguay)
Il y avait beaucoup de monde, trop de monde. Bien difficile d'approcher des stands. Mais, que de belles choses.
Bien difficile de préserver le porte-monnaie.
Outre les stands de vente, il y avait différentes expositions. Voici quelques photos :
du travail remarquable au point de croix, comme un journal ou un livre inspiré d'une méthode de lecture :
ou encore ce kimono :
Il y avait une dame qui collectionnait des rouleaux. Des rouleaux , oui ! mais de quoi.
Alors , lorsque les petites filles entraient à l'école, il y a bien longtemps, elles apprenaient à coudre, à broder, à faire de la dentelle... Enfin, tout ce qu'il fallait pour devenir une femme accomplie. Tout ce travail était assemblé au fur et à mesure et formait de longues bandes de "tissus" pouvant aller jusqu'à plusieurs mètres. Elles les enroulaient pour les transporter ou même les ranger, d'où le terme de rouleau et lorsqu'elles devaient justifier de leur savoir elles n'avaient plus qu'à le dérouler.
Et puis, il y avait une superbe exposition de costumes d'Opéra (Marseille et Paris)
et des costumes du Centre National du Costume de Scène et de la Scénographie de Moulins
et enfin la dentelle de Nanduti (Paraguay)